Points les plus marquants dans l’ensemble des posters :

Tendance vers des mesures in situ, rapides, automatisées et télétransmises (ex : micro capteurs à bas coûts pour des acquisitions multiples sur site…)

De plus en plus de techniques sont disponibles pour acquérir des données qui soient les plus représentatives en conditions du site (ex : microcosme in situ)

Reconnaissance du besoin d’acquisition de paramètres physiques (ex : perméabilité, flux hydrauliques…) en appuis des interprétations de résultats de paramètres chimiques (concentrations dans les eaux souterraines)

« De la photo vers le film » : changement de paradigme d’une approche statique (mesures ponctuelles des prélèvements classiques) vers une approche dynamique (mesures en suivi temporel).

Conclusions et tendances tirées sur le sujet :

Face aux outils préexistants et déjà reconnus par la profession, les potentiels des outils innovants restent méconnus vis-à-vis de leurs plages d’utilisation, des contextes de sites adaptés, des coûts associés, des incertitudes générées…

Les mesures in situ sont de plus en plus précises à petite échelle. Elles nécessitent d’être interprétées dans une dimension intégrative à l’échelle de représentativité du site (schéma conceptuel).

La plus-value des nouveaux outils doit toujours être démontrée : d’une part, vis-à-vis des besoins techniques (ex : connaissance de la stratification des eaux souterraines…) et, d’autre part, dans une approche coût/avantage (bénéfices pour l’orientation des mesures de gestion …).

Quelles sont les actions pertinentes pour progresser sur le sujet :

Chantier permanent : faciliter l’appropriation de la profession aux nouveaux outils et méthodes (vérification des allégations, partage des retours d’expériences terrains (succès et échecs), facilitation des transferts dans les pratiques commerciales…).

Faciliter la connaissance des donneurs d’ordre aux apports et bénéfices apportés par des outils innovants pour justifier les coûts supplémentaires dans les commandes / offres.

Promouvoir la reconnaissance de nouvelles approches et outils dans les cadres de prescriptions réglementaires.